Laboratoires de recherche
Le CNRS structure la recherche mathématique en France en partenariat étroit avec les universités. Il crée ainsi un maillage fin du territoire.
Les structures de recherche : UMR, UAR et FR
L’action de l’Insmi s’appuie un réseau national qui structure la quasi-totalité de la recherche académique en mathématiques sur le territoire. Ce socle est constitué de 44 unités mixtes de recherche (UMR). La tutelle de ces unités est assurée de façon « mixte » en partenariat entre le CNRS et différents établissements d’enseignement supérieur.
Le réseau comporte également des unités d’appui et de recherche (UAR), qui ont pour mission de mener des activités d’appui aux unités de recherche (service, appui logistique, support, soutien à certaines activités).
Consulter la liste complète des UMR de l'Insmi
À cela s’ajoutent 13 fédérations de recherche (FR), qui sont des associations régionales de laboratoires de mathématiques, UMR ou équipes d’accueil. Ces fédérations sont l’interlocuteur naturel des régions, chambres de commerce et d’industrie ou rectorats en ce qui concerne les mathématiques.
Consulter la liste complète des FR
Régulièrement, ces unités sont évaluées sur leur travail et leur organisation par le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres), organisme d’évaluation national externe au CNRS, ainsi que par le Comité national du CNRS. Les chercheurs et chercheuses de l’Insmi sont quant à eux évalués par les sections du Comité national du CNRS, principalement par la section 41, dédiée aux mathématiques.
Le groupe Calcul
Ce GDR réunit des membres de la communauté du calcul en France, ingénieurs et ingénieures, mathématiciens et mathématiciennes. Il anime des groupes de communication et d’échange lors de manifestations scientifiques et techniques, abrite le réseau métier des ingénieurs et ingénieures calcul du CNRS et participe à l’action de mutualisation des ressources matérielles de calcul sur l’ensemble du territoire.